ZUM GLÜCK DER HOHEN LIEBE

Funktionierende Wege zur schönen Realisierung 

   (hier die 4 Umschlagsseiten)

So sagt es ja auch der spanische Philosoph Ortega y Gasset: Die Mädchen sind die Schlüsselpersonen! Und ich glaube, das gilt für überall auf der Welt!

Die hohe Zahl an HIV-positiven Mädchen in Südafrika  liegt  m. E. nun nicht daran, dass die Mädchen triebhafter und frühreifer als die Jungen sind, sondern dass sie auf der ganzen Welt  immer noch verklemmt erzogen werden. Das hat zur Folge, dass besonders sie die Verklemmtheit (Scham, Ausklammerung spezieller Themen in Gesprächen, in der Schule und verklemmte Moralisiererei) einfach nicht aushalten und sich sozusagen eines Tages, wenn sich die Gelegenheit bietet, mit einem Rundumschlag befreien wollen - und wenn es wie in SAfrika alte Daddys sind.

Es kann allerdings auch sein, dass die Mädchen von draufgängerischen Jungen in ihrem Alter frustriert sind und sich daher älteren Männern zuwenden...

Und so sind es durchaus gerade auch Jungen, die an einer hohen Moral ein Interesse haben: Mein KFZ-Meister (ein Rentner wie ich, da hat man schon mal Zeit zum Reden) hat immer Abnehmer für meine "Werke" - und es sind Jungen. Er erzählte, dass sie die auch in ihre Schulen mitnehmen und den Lehrern geben. Das heißt doch, dass dort darüber geredet werden soll, auch und gerade mit den Mädchen, an die die Jungen sonst mit so etwas nicht rankommen.

Am 26.06.2013 13:45, schrieb Ludwig:

Il devient de plus en plus évident que notre religion chrétienne, telle que nous la connaissons aujourd'hui, est composée d'anciennes histoires. L'idée de Fils-de-Dieu, de la résurrection, de l'ascension, d'une vierge qui donne naissance, de la transformation de l'eau en vin et autres récits de miracles, sont tous des mythes typiques de l'antiquité babylonienne-égyptien-grec. Jésus était un juif constructeur de maisons («charpentier» est une mauvaise traduction). Après sa crucifixion, on a reécrit la vie de Jésus, en fonction de ces mythes, afin de construire une religion universelle adaptée aux gens de cette époque. Actuellement, un vrai chrétien qui croit au vrai Jésus («historique» comme disent le théologien) ne peut plus vraiment croire à cette version au fond de sa conscience. Dans ce livret, je voudrais décrire la vraie préoccupation de Jésus qui est clairement exprimée dans l'histoire, à mon avis authentique, de la femme adultère (Jean 8). Il est évident que Jésus voulait une harmonie entre homme et femme dans la société. Mais l'antique société grec très homo érotique (originaire du christianisme d'aujourd'hui) a complètement suffoqué ce désir.

Commentaire sur ce livret:

Le philosophe espagnol Ortega y Gasset a dit un fois que l'esprit des jeunes filles de15 ans est plus fort que l'acier du dieu de la guerre. Cela veut dire: Les critères selon lesquelles les jeunes filles choisissent leurs partenaires pour leur premier amour déterminent très fort la qualité de la société.

Le premier amour généralement est considéré comme une force irrésistible et incontrôlable.

Est-ce que ça veut dire que les jeunes filles sont complètement aveuglées par cette force et n'ont même plus la possibilité de distinguer entre un partenaire de valeur et un libertin?

Dans mon concept «Expérimenter d'abord le Paradis» sera expliqué une méthode naturelle qui permet aux jeunes filles de comprendre leur situation et de prendre la bonne décision. Cette méthode les immunisent contre les faux partenaires qui les considéreront comme des objets et briseront leurs cœurs. Ainsi dirigée, la force de leur amour pourra les rendre heureuses. Ces jeunes gens peuvent ainsi mettre en pratique dans leur propre vie ce que le vrai Jésus voulait et contribuer positivement à toute la société.

La thèse de ce livret est que les jeunes gens sont des êtres de haute moralité et en particulier dans le domaine sexuel. Pourtant dans notre civilisation plus ou moins décadente ils utilisent ce potentiel morale naturel pour développer un sentiment de honte plutôt qu'une moral qui a du sens. C'est pourquoi en général les actions des jeunes n'ont souvent ni sens ni haute valeur morale. Interrogez un adolescent: Une jeune fille ressentirait une timidité panique lorsqu'on aurait aperçu le bout de ses seins, pis encore si on l'a vue nue, mais beaucoup d'entre elles trouvent normale d'avoir une relation sexuelle avec un garçon ou un homme – et si cette personne ne vaut rien, de passer à une autre.

Le Chinois sagesse enseignant Confucius a dit: Par trois méthodes nous pouvons apprendre la sagesse : d'abord, par la réflexion qui est la plus noble ; en second lieu, par l'imitation, qui est la plus facile ; et troisième, par l'expérience, qui est la plus amère. En ce qui concerne l'amour vrai et le vrai partenaire, certaines attitudes y conduisent et d'autres pas, certaines actions sont source de problèmes et d'autres aident. Ce livret a pour but de donner aux jeunes la possibilité de distinguer avant de par la réflexion entre les deux, et de comprendre l'importance de l'abstinence avant le mariage qui devrait être vécue de façon assez intelligente pour permettre aux partenaires de se connaître l'un l'autre et eux-mêmes. Car une telle abstinence fait part du paradis.

«Jamais négatif! Toujours positif!» est le principe d'une bonne publicité et aussi d'une bonne pédagogie. Les parents ne devraient pas mettre en garde leur jeune fille contre la méchanceté de l'homme, mais lui faire découvrir combien le paradis peut être beau ainsi que l'harmonie entre homme et femme. Cela aidera l'enfant à s'orienter dans sa recherche du vrai partenaire. Ce sont ces belles et innocentes expériences que la jeune fille a vécues avec son père qui la stimulera à chercher un partenaire avec lequel elle pourra les revivre.

L'auteur sur l'origine de son concept

Mon engagement est sûrement liée à l'éducation parentale bourgeoise dans laquelle j'ai grandi. Souvent nous allions au théâtre et à l'opéra, et nous visitions aussi les musées d'art comme le Louvre à Paris, le Reichsmuseum à Amsterdam, les Musées des Offices à Florence. A un certain moment donné, j'ai réalisé que le thème essentiel des opéras était la souffrance morale liée à l'amour et à la sexualité, et que quelque part les spectateurs étaient dans une position de voyeurs. Ils regardent et ils écoutent ces drames avec plaisir, un peu comme ils se précipitent pour voir un accident de circulation. Je pense à des opéras du type « La Traviata » (Verdi), « Don Giovanni » (Mozart), « Madame Butterfly » (Puccini), « Katja Kabanova » (Janacek) ou « Wozzeck » (Alban Berg). Là, les thèmes rencontrés sont: un père qui ne peut marier sa fille proprement parce que son fils s'est lié à une prostituée, les soucis d'un père pour sa fille afin d'éviter qu'elle tombe dans les mains d'un Don Juan, un play-boy qui séduit toutes les femmes, un officier de marine américain qui joue avec l'amour d'une Geisha, une femme délaissée qui prend un amant et encore, un simple soldat, dont la femme part avec un tambour major. Très souvent le rôle principale, brisé par son destin, assassine ou se suicide. Il ne semble venir à l’idée de personne que ces drames ont leur racine dans la culture et la religion et qu'il faudrait développer une pédagogie pour les jeunes et particulièrement pour les enfants afin de mettre un terme à ces situations tragiques. Pourtant, bien souvent, ce qui a été vécu sur la scène, se passe dans la vie quotidienne, mais en moins dramatique.

En tout cas, je vois qu'il y a quelque chose à faire et que c'est possible.

Jesus to Unbelievers: A new theology of the high love after the historical Jesus for young people which gives joy and selfconfidence:

A new theology of the high love after the historical Jesus for young people which gives joy and selfconfidence

This booklet is especially for young people “without experiences” and for caring parents and grandparents and for other curious people.

One after the other – or a partner for your soul?

The purpose behind this issue:

It is becoming increasingly apparent that our Christian religion as we know it today is a conglomeration of ancient gods and other stories. The ideas of a Son of God, of a resurrection and ascension, of a Virgin birth, the miracle tales of a transformation of water into wine and others are typical myths from the Babylonian-Egyptian-Greek antiquity. After his crucifixion, these myths have been applied to the Jewish home builder Jesus ("Carpenter" is a misleading translation), in order to construct a universal religion for the people of that time. Today, however, they are no longer acceptable for a true Christian with a clear conscience and faith in the real Jesus (or, as the theologians say, the "historical Jesus").

Therefore, in order to grasp the intention of the real Jesus, we look here at the story of the woman who should get stoned (John 8), a probably very authentic story. Obviously Jesus wanted harmony between the sexes in his Jewish society - and everywhere else, too. This intention, however, has been suffocated in the largely homoerotic antique Greek society where Christianity was first shaped. Let us therefore take care of Jesus' original concern, which is certainly still relevant today!

To this issue:

The Spanish philosopher Ortega y Gasset once said: What 15 year old girls have in their minds is harder than the steel of the war god. Specifically, this means: The reasons why young girls choose their partners, and especially their first sexual partner, can definitely affect a whole society pretty much.

The very first love or amorousness, however, is often experienced as an irrepressible force of nature, which one seems to not being able to hold anything against.

But are girls unable to take an influence on themselves? Does the force of nature to such an extent strip girls of their control over their feelings that they can no longer distinguish if the man they are burning for is a hollow Hallodri or a caring, responsible man?

The concept of "Experience paradise first ..." shows girls a natural way to train their inner attitude. It will make them immune against “wrong partners” who cannot bring them fulfillment and for whom they are only objects. It will enable them to use the natural force of love for their own happiness and that of others. Thus they will realize, what the real Jesus wanted, in their own life – and, as a side-effect, influence positively the whole society.

This issue infers that young people have high morals, even and especially in sexuality. But in our decadent civilizations, they learn to invest their moral potential rather in feelings of shame than in truly meaningful morals. Therefore young people in general act deplorably, in relation to a high moral standing. Just ask young people in puberty (and earlier): Girls panic already lest someone might see their nipples, and much more to be seen completely naked. But they don't seem to have problems to have sexual intercourse with any boy or man – and if that one is "nothing" they try the next.

The Chinese wisdom teacher Confucius said: “By three methods we may learn wisdom: First, by reflection, which is noblest; Second, by imitation, which is easiest; and third by experience, which is the bitterest.”This issue wants to let young people see at first by reflection, what makes sense for them in terms of a high love and a good partnership and what is pointless, and do the straightforward and not problematic actions. They learn abstinence before marriage in an intelligent way, that brings self-confidence and viable human knowledge. Because such abstinence belongs to paradise.

The concept of this booklet follows the principle of good advertising, which should be the principle of good education, too: "Never negative, always positive!" Parents should not educate their daughters "against evil man's world", but show them how beautiful paradise, the harmony between man and woman, can be. Their daughters will thank them for that, because it will guide them when looking for a partner. What they have experienced in beautiful innocence with her father, they will also want to experience with their partner!

How the author came to this concept

My commitment certainly depends from the middle class education I received in my parents' house where I grew up. We went to art galleries such as the Louvre (Paris), the Rijksmuseum (Amsterdam), the Uffizi Gallery (Forence) and visited theater and opera. At a certain point I noticed that the average audience is like voyeurs. Especially in the opera, the main theme is always suffering caused by love and sex, but they take it in merely as an ears' tickle – they delight in listening to and watching it, just as people are eager to watch a traffic accident. I think at operas such as "La Traviata" or "Rigoletto" (Verdi), "Don Giovanni" (Mozart), "Madame Butterfly" (Puccini), "Katya Kabanova" (Janacek) or "Wozzeck" (Alban Berg). Plots go that a father can not marry his daughter appropriately as long as his son has a relation to a high-class prostitute, or that a father wants to protect his daughter from the hands of a Casanova at the court, who is nibbling all girls and women he can reach, or that an American naval officer considers the love of a geisha just as a pastime, or a woman neglected by her husband procuring herself a lover, or a common soldier, whose wife is unclamped with a drum major. Often the main characters despair of their heavy fate and commit murder and/or suicide.

Nobody seems to get the idea that these "stories" have their origin in culture and religion, and that someone ought to take care of this and start to develop educational means for young people, particularly for children, in order that "those stories" will not happen. Last but not least, what we are seeing on stage, happens only too often in everyday life, although rarely so dramatically.

I for my part think that something has to be and can be done here!

                                                                                                      
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